26 juin 2015
Sonnet pour mon succube
Quatre heures du matin, et la nuit palissait J'étais nu sur mon lit et je me retournais Il faisait encore chaud et je dormais à peine En proie à l'érotisme de mes rêves obscènes Depuis plus de deux heures elle assiégeait ma couche Invisible, et pourtant...